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20.03.2007

Vive la Francophonie !

medium_francophonie.2.gif C'est sa fête, aujourd'hui ! Et l'occasion pour moi d'adresser un clin d'oeil complice à mes lecteurs d'Outre-Atlantique. Grâce à l'édition canadienne du magazine J'Aime Lire, ils peuvent découvrir depuis quelques jours la version québecoise de mon petit roman La Lettre mystérieuse...
Mais oui, tout s'explique ! Voilà pourquoi la boite aux lettres, la camionnette et l'enseigne de la poste, jaunes au départ, ont été repeintes en rouge ! Comme le "Grand Spécialiste de Paris" est devenu celui de Montréal... et la Tour Eiffel, le Mont-Royal !
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J'aime voyager. D'ailleurs, j'y suis allée, au Canada. (Dans l'Ontario seulement - un comble, quand on pense à l'excellent accueil fait à mes livres au Québec ! Mais, un jour, c'est promis...) Et comme toute lectrice, j'aime aussi les transports imaginaires, ceux qui passent par la pensée ou la magie de la correspondance. Alors, si jamais vous me lisez de plus loin que de France métropolitaine, n'hésitez pas, envoyez-moi quelques chouettes signaux de fumée ! (Cela dit, tous les nuages, tous les messages, seront les bienvenus !)
PS1 : Si vous cliquez sur l'image en couleur, vous accèderez au site de la Journée de la Francophonie. Et en cliquant sur mon portrait canadien vous découvrirez les notices consacrées à trois de mes livres, en ligne sur le portail officiel de l'Education du Québec.
PS2 : Des becs, s'ils me lisent, à la famille Lawrence au grand complet : Justyna, Bob, Jennifer, Kathryn, Robin et... Crystal !
PS3 : Mes salutations chaleureuses à Paule Brière, Marie-Louise Leblanc, Markita Boies et Catherine Ruel !

13.03.2007

Marabout et... Guili Guilire !

medium_couvmarabout.2.gif Voilà quelqu'un qui a croisé les grandes et rutilantes caisses rouges de La Maison des Contes et des Histoires (voir la note précédente) ! En effet, sa chronique commence ainsi :


Lors d'une exposition, il y a quelques mois, j'ai eu un gros coup de coeur pour cet album.

L'histoire est adorable. Une sorcière se lamente d'être toute seule dans sa maison, lorsque la sonnette retentit. Un marabout se présente et demande "Suis-je bien chez Fulberte, la si fameuse fée ?". "La sorcière ne sait quoi dire... Elle est flattée. Quoique honteuse de n'être ni fée ni fameuse"...


Pour lire la suite - et découvrir un site qui chatouille la littérature jeunesse en sollicitant les critiques des lecteurs eux-mêmes - cliquez ici !

 

08.03.2007

Une drôle de maison

medium_maisondescontes.jpeg C'est une maison jaune (vous pouvez chanter) avec une jolie vitrine. Elle est sise à Paris, dans les rues du Marais. Elle donne envie d'entrer...
C'est La Maison des Contes et des Histoires. Pour l'explorer, poussez la porte en cliquant sur l'image.
Vous y découvrirez une galerie d'art présentant des originaux d'albums, autour d'un thème et d'un illustrateur - en ce moment Vive le Carnaval ! et les illustrations de La Tortue Géante des Galapagos de Rébecca Dautremer.
Vous saurez aussi que cette drôle de maison propose, tout au long de l'année, de très nombreuses animations : des visites commentées, des mini-spectacles, des parcours sensoriels ou des ateliers d'art plastique, pour les familles, les crèches, les écoles et les centres de loisirs. Cherchez, vous y trouverez forcément votre bonheur !
Par ailleurs, notez que les expositions voyagent. Dans de grandes et rutilantes caisses rouges, les images de Marcelino Truong, Laurent Corvaisier, Eric Puybaret, Géraldine Alibeu, Elodie Nouhen ou Muriel Kerba sillonnent les routes. (Ainsi, peut-être avez-vous déjà croisé ses magnifiques illustrations de mon Marabout et bout de sorcière ?)
Pour voir toutes les expositions disponibles et tous les illustrateurs concernés, c'est .
C'est une maison jaune avec une jolie vitrine. Elle est sise à Paris, dans les rues du Marais. Tirez la chevillette... et ouvrez vos mirettes !

28.02.2007

B comme...

bébé, beau,baluchon
et bonnes nouvelles - trois exactement !
1. La toute dernière critique de Mon Petit Baluchon, parue sur www.choisirunlivre.com :

 

Dès 3 ans

Sujet :
A l’approche de sa naissance, bébé prend la parole sous la forme d’une comptine et énumère ainsi tout ce dont il aura besoin dans son « baluchon » : un doudou, des jouets, quelques gouttes de lait, de la peinture, de la musique… Le langage et la connaissance du monde !


Commentaire :
Un album plein de douceur et de tendresse pour aborder poétiquement les besoins d’un nouveau né ! Besoins matériels, affectifs, envies de conquête, ouverture sur le monde : de petites phrases tout en rimes, en rythme et en couleurs dansent sur les pages ivoires de ce ravissant ouvrage. Les aquarelles colorées et soignées contribuent à l’enchantement ! Un joli cadeau de naissance !


40 pages - 26 x 26 cm - ISBN : 2911013956 - Novembre 2006 - 14 €

ALBUM

 

 

2. Mon Petit Baluchon a été choisi par les magasins Nature et Découvertes pour entrer dans leur joli rayon librairie !

 

3. Mon Petit Baluchon a été choisi par le lactarium de Tours pour être offert aux très généreuses mamans qui viennent donner leur lait.

 

Quel bonheur !

 

15.02.2007

Allô, Milos ?

medium_ads_background.2.gifSi cela vous dit, vous pouvez aller lire (en cliquant sur le logo ci-contre) la chronique littéraire de Michèle Caron sur le site de Radio France, consacrée hier à mon cher Milos et diffusée à deux reprises sur l'antenne de France Bleu Isère. Et vous pourrez aussi écouter l'entretien téléphonique que nous avons eu ensemble à cette occasion.

 

13.02.2007

Message personnel (4)

Aux élèves du collège des Mûriers de Cannes-la-Bocca qui m'ont accueillie parmi eux hier, à leurs trois professeurs et à leur documentaliste : MERCI ! Pour moi, grâce à vous, la journée fut riche et intense. Je m'en remets doucement aujourd'hui, relisant vos questions, vos lettres... et me maudissant d'avoir oublié de vous dire ceci ou cela.

Je vous adresse aussi un grand BRAVO pour tout le travail accompli, par chacun, à son poste. Lire ce que l'on a écrit en public n'est pas simple - je sais de quoi je parle ! - et porter un tel projet, sur la durée, avec cet enthousiasme... j'admire infiniment. Tout cela fait chaud au coeur et décuple l'envie d'écrire !

 

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Pour vous, le ciel au-dessus de l'aéroport de Nice juste avant que je m'y envole : une minute de bonheur, magique et pur. Savez-vous que, comme Paloma la colombe, l'arc-en-ciel symbolise la PAIX ?

08.02.2007

Attention travaux !

25.01.2007

Courriels et courrier

 
Fin novembre, j'ai reçu ce courriel :

Jeune enseignante de français dans un collège de la banlieue parisienne, j'envisage de lire votre magnifique et touchant Lettres à une disparue à mes élèves dans le cadre de ma séquence sur l'épistolaire (programme de 4ème). Il s'agirait de lire une lettre au tout début de chaque séance, sans même en faire une analyse méthodique, juste pour le plaisir... Je n'ai jamais testé ce procédé mais mes 29 ados adorent que je leur fasse la lecture des textes que l'on étudie en classe.

J'en viens maintenant à ma petite demande : pourriez-vous leur adresser un petit mot d'entrée en matière, une sorte d'invitation à se plonger dans cette lecture collective, qui deviendra je le souhaite une expérience forte et émouvante dont ils se souviendront. En vous remerciant par avance et vous félicitant pour l'ensemble de vos ouvrages,

Sandrine N., professeure de lettres.

 

Alors, j'ai écrit ceci :

Chers (futurs) lecteurs,
ou chers auditeurs - peu importe !
par la voix de votre professeure, vous entendez la mienne. Et par la mienne, vous entendrez bientôt celle de Melina... qui écrit des lettres à sa fille, "disparue" dans la terreur muette d'une dictature.
Vous verrez, je n'ai pas situé mon roman, ni dans le temps ni dans l'espace : on ne sait donc jamais ni où ni quand se déroule l'histoire. Parfois, c'est vrai, cela trouble un peu le lecteur. Mais si j'ai fait ce choix, c'est pour une raison précise, et simple. Je ne voulais pas qu'à la lecture de mon texte, on puisse penser : "Voilà les horreurs qui ont eu lieu en Argentine dans les années 70. Heureusement, maintenant c'est une affaire classée !"
Car non, hélas, tout cela n'est pas fini. En Argentine, oui. Et au Chili aussi. Tant mieux, bien sûr... même si justice n'a pas été rendue aux "disparus" et à leurs proches - comme vous le comprendrez à la fin du roman. Ailleurs, plus récemment, d'autres "disparitions" se sont produites. En Algérie, au Kosovo ou en Irak.
Quand vous entendrez Melina, pensez aussi à tous ces gens, qui vivent sur la même Terre que nous, à quelques heures d'avion d'ici. Dans leurs poitrines, ils ont un coeur semblable au nôtre, qui bat de la même envie de vivre que nous. Et pourtant...
 
Mais, n'est-ce pas rassurant de savoir que l'on forme, vous et moi, tous ensemble, sans nous connaître, une sorte de chaîne humaine qui gardera la mémoire de ces "disparus" ?
N'est-ce pas rassurant de savoir qu'il y a des cœurs, ailleurs, pour écouter le cri qui s'échappe du vôtre ? Des cœurs ouverts, amis ou frères, pour partager la douleur et la consoler. Se souvenir, se soulever, rêver de justice et de paix...
Aussi, je vous l'écris comme je le pense : je suis fière, aujourd'hui, de me trouver à vos côtés... par la magie de la littérature ! (Et grâce à votre professeure.)
Bonne lecture à vous - ou plutôt, bonne écoute !
Avec mes pensées les plus fraternelles,
Véronique Massenot.
 
 
À quoi Mme N. m'a répondu :
Mille mercis pour ce joli message !
Le hasard a voulu que je lise la 1ère lettre lundi dernier, au lendemain de la mort de Pinochet. (...)
Certains de mes élèves ignoraient l'idée même de dictature. Ma séquence sur l'épistolaire a ainsi pris une direction particulière : à ce jour, nous avons étudié Le déserteur de Boris Vian, les lettres insérées dans L'enfant multiple d'Andrée Chédid, des lettres authentiques d'Algériens publiées dans Le Monde en 1997 témoignant des atrocités de la guerre.
Merci, réunies par votre oeuvre, nous sommes plus fortes pour faire de ces jeunes adolescents de futurs citoyens responsables et sensibles. 
 
 
Alors, à mon tour, j'ai écrit :
Bonjour à vous
et merci de m'avoir ainsi tenue au courant.
En effet, le hasard de l'actualité a "bien" fait les choses...
Et je suis très heureuse de m'être trouvée, grâce à vous, en compagnie de Boris Vian, qui est l'un de mes auteurs préférés. J'espère que vos élèves ont été sensibles à tout cela...
J'en profite pour vous souhaiter de bonnes fêtes !
Bien à vous,
Véronique.
 
 
Puis, par la poste, m'est arrivé cette carte, accompagnée d'une jolie brassée de lettres :
Chère Véronique,
curieusement, notre lecture de Lettres à une disparue s'est ouverte sur la mort d'Augusto Pinochet et s'est achevée, aujourd'hui, sur celle de Saparmourat Niyazov. Cet ancrage dans la réalité a renforcé, je pense, la puissance de votre démarche, celle d'avoir écrit pour les jeunes un roman pacifiste, engagé et poignant que j'ai eu beaucoup plaisir à transmettre à mes élèves tout en les guidant dans cette découverte d'un monde qu'ils ignoraient.
C'est ainsi que vous, auteure, et moi, professeure, avons oeuvré pour la paix et de respect de l'Homme en touchant les âmes et les coeurs de ces vingt-neuf futurs citoyens.
Pour vous remercier, voici les lettres de mes élèves, ni retouchées, ni guidées, afin de leur laisser toute leur spontanéité...
En vous souhaitant de très belles fêtes,
Sandrine.
 
 
(@ suivre...)
 -

24.01.2007

Rendez-vous à Brunoy

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Vous me trouverez samedi prochain (27 janvier) au Salon des Illustrateurs de Brunoy (91) où je vous dédicacerai mes livres - et notamment Marabout et bout de sorcière, car Muriel Kerba, l'auteure de ses splendides images, sera là elle aussi ! Nous serons entourées de prestigieux confrères (May Angeli, Martine Bourre, Laurent Corvaisier, Pascale Estellon, Martin Jarrie, Joëlle Jolivet, Elodie Nouhen, Frédéric Stehr...) venus animer de chouettes ateliers.

Pour consulter le programme complet du Salon, cliquez ici. Pour découvrir le site de Muriel Kerba, cliquez . Belle promenade, et à bientôt peut-être !

 

21.12.2006

Y a pas d'os !

medium_carremilos70.jpgEn va-t-il dans la vie comme dans les livres ?  Non content d'être déjà dans la hotte Sélection de Noël d'Eveil et Jeux, ainsi qu'à l'honneur sur Sitartmag, voilà Milos à l'affiche sur Evene.fr et Coup de Coeur sur Ricochet, le portail européen de Littérature Jeunesse... Noël réussit vraiment à mon squelette préféré !

18.12.2006

Départ pour Châtillon-sur-Seine

medium_sc_a01.gifujourd'hui, je prends le train pour la Côte d'Or. Je vais y rencontrer les élèves d'un Lycée Agricole, notamment une classe de BEP option "soigneurs d'équidés". C'est leur documentaliste, Nathalie Jacquenet, qui m'a contactée. Ses motivations et son projet m'ont vite convaincue :

"Je constate en effet chaque année qu'une telle rencontre avec nos élèves, a priori réticents à la lecture, est une belle occasion de dépasser certaines crispations, certains comportements stéréotypés. Il en ressort des échanges riches humainement. Par ailleurs, le thème que vous avez évoqué dans vos deux romans, Lettres à une disparue et Soliman le Pacifique, intéresse les élèves. Ils sont très sensibles à l'injustice, la contrainte, l'absence de liberté de choix...

Je suis heureuse de rencontrer des "grands", heureuse à l'idée de leur parler de mes deux romans, de faire le lien entre eux. Et puis... je sais que la rencontre a été préparée avec grand soin :

"Actuellement, je retrace aux élèves l'histoire du judaïsme depuis Moïse et je leur lis des extraits de vos romans ou d'autres récits : Si tu veux être mon amie, de Galit Fink et Mervet Akram Sha'ban, L'Attentat de Yasmina Khadra. J'aborderai ensuite la question palestinienne à travers la culture des oliviers comme facteur de dialogue entre les deux peuples. En ce qui concerne l'Argentine, je leur lirai des extraits du livre d'Eduardo Galeano, Mémoire du feu, dans lequel il parle des enfants adoptés par les bourreaux de leurs parents. Je voudrais également leur faire écouter une chanson d'Atahualpa Yupanqui, en nous attardant sur le texte."

Bonne journée à vous - pour la mienne, je suis confiante !

 

14.12.2006

Les amoureux de Sallaumines

medium_veronikmassenotgr.jpgHier, Fulberte et Amadou, mes deux amoureux préférés, ceux de mon album Marabout et bout de Sorcière, étaient de passage à la Maison de l'Art et de la Communication de Sallaumines. Dans la grande salle de danse, soixante enfants les attendaient, assis sur leurs coussins en forme de coeurs et leurs petits tapis (volants, certainement) ! La sorcière et son marabout arrivèrent par ma voix... et celle du violoncelle de ma soeur, Caroline.

Mais les enfants n'étaient pas là simplement pour nous écouter. Caroline avait tout prévu - il faut dire que c'est son métier ! Elle forma les pupitres et distribua les rôles. D'abord, des lames sonores, pour l'ambiance un peu inquiétante du début de l'histoire. Les claves, quand on frappe à la porte du manoir. Sanza, djembé, lorsque l'inconnu se présente : "Je m'appelle Amadou, grand marabout d'Afrique"... Bientôt, chacun des soixante enfants eut son instrument. Et, après une première mise en place, nous nous lançâmes pour de bon.

Quel bonheur ! Même les tout petits, ravis d'agiter leurs grappes de coquilles d'escargot ou de faire tinter leurs canettes métalliques (spécialement fabriquées pour l'occasion) lorsque Fulberte farfouille dans son réfrigérateur et offre un verre à son visiteur, participèrent de bon coeur ! Quant aux flûtes à coulisse, accompagnant les exploits délirants d'une Fulberte déchaînée sur son balai hirsute, inutile de dire qu'elles rencontrèrent un vif succès !

Après toutes ces émotions musicales, ce fut l'heure d'aller goûter à la médiathèque. J'avais apporté quelques étiquettes "maison" à coller sur les bouteilles de boissons et, contre toute attente, le pipi de chat fut très apprécié ! Ensuite, dans la petite salle du conte, je montrai aux plus grands les dernières épreuves de l'album avant publication, explorant avec eux les dessous de l'histoire et l'infinie richesse des illustrations de Muriel. Enfin, vint le moment des dédicaces, des "au revoir" et des bisous... Longue vie aux amoureux des livres !

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Par chouette postale électronique, j'envoie un grand merci à toute l'équipe de la MAC de Sallaumines : à Isabelle, pour son soutien enthousiaste de la première heure, à Gaby pour son efficacité, à David pour sa gentillesse, à Valérie pour son aide précieuse et à Sylvain, barman de choc !

Et par hibou spécial poids lourds, mille mercis à Caro : c'est dans son cerveau en ébullition qu'a germé ce projet, puis mûri toute sa mise en place - merci aussi à Sébastien qui a composé le thème final de l'animation ! J'espère que nous  aurons l'occasion de faire progresser notre prestation commune, en ajoutant notamment quelques micro et jeux de lumières féeriques... Oui, mille mercis de m'avoir ainsi entraînée au coeur le plus joyeux de cette charmante aventure magique !

 

09.12.2006

Rendez-vous à Conflans-Ste-Honorine

medium_ideovm6.jpgJuste une petite note pour vous informer que je dédicacerai mes romans et albums, le samedi 16 décembre 2006 (dans une semaine) à partir de 15 heures, au magasin culturel Leclerc de Conflans. À bientôt !

08.12.2006

Voyage au coeur des pages

Aujourd'hui, je vous propose de feuilleter Milos...
 
 
 
 
Ces belles illustrations sont signées Isabelle Charly. Et vous n'avez rien vu, car il vous reste à découvrir le vilain Général Ité, la merveilleuse chambre 13, l'arrivée des cadeaux le 24 décembre... et le bal de Noël de l'Hôtel Albinos !

 

07.12.2006

Un squelette pour Noël ?

Puisque nous en sommes aux critiques, voici quelques lignes d'une autre, parue tout récemment sur Sitartmag. Elle concerne mon dernier album.
 
 
Histoire d’amitié qui aborde avec légèreté et sans didactisme pesant les thématiques associées du rejet et de la tolérance, Milos (Y a un os !) est un conte de Noël décalé, bien différent de tout ce que l’on peut croiser en ces périodes festives. Pas de père Noël (seulement évoqué), ni rennes ni bonhomme de neige, mais une intrigue inspirée, si l’on en croit la citation en exergue, par une chanson de Nougaroun jour, tôt ou tard, on n’est que des os ») et un petit miracle qui doit davantage à la science qu’à la magie… Les illustrations d’Isabelle Charly s’accordent parfaitement au ton enjoué et à la vivacité fantaisiste du texte (l’idée des lunettes « magix », entre autres) et le complètent agréablement en ajoutant nombre de petits détails à l’histoire, sans jamais la dénaturer.
B. Longre
 
 
Pour lire d'autres critiques d'albums, de romans, de spectacles, d'expositions... rendez-vous sur www.sitartmag.com !

04.12.2006

Sur les traces de l'Ogre

Connaissez-vous cette critique de mon album L'Ogre de Silensonge ? Elle est parue dans le magazine Citrouille (La Revue des Librairies Spécialisées Jeunesse) en juin dernier (n°44) - ce que je n'ai découvert que très récemment, lors de mon séjour à Fougères. Mais comme je ne dois pas être seule dans ce cas... généreusement, je fais suivre ! ;-)

 

> Pour une littérature jeunesse positive de la cruauté

 

Les livres pour enfants présentent toujours des méchants qui se voient : des hommes vêtus de noir au regard mauvais, des sorcières à verrues, des tigres aux dents pointues. Grâce aux livres j’ai appris, tout petit, à me méfier des inconnus, à ne plus avoir peur du noir et, à défaut d’avoir un dragon à tuer, à porter le cartable de mes princesses.

Je ne sais à quel âge on comprend que les livres c’est rien que des menteries, que les gentils gagnent rarement, que les princesses sont des garces et que les méchants ne portent pas toujours de manteaux noirs, de verrues et de dents pointues.

J’ai reçu de ma mère une bonne éducation. Toujours à l’écoute, elle répondait sans détour à toutes mes questions. De ses principes, quelques uns étaient pourtant discutables, suivant une logique de conte de fées. En résumé :

- Il faut avoir souffert pour apprécier la vie. Donc les pauvres sont des gens formidables.

- Ce n’est pas bien d’être raciste. Les étrangers sont des gens formidables.

- La maîtresse a plein de choses à t’apprendre. Les maîtresses sont des gens formidables.

Madame Lee Van Fu (orthographe approximative : à prononcer « le vent fou » !) était ma maîtresse en CE1. Aux dires de ma mère elle était pauvre, son mari resté au Vietnam, seule à élever ses trois filles. Pauvre, étrangère et maîtresse, trois raisons pour être une personne formidable.

Elle ne m’aimait pas beaucoup en CE1, j’allais souvent au coin, mais je n’ai pas le souvenir de problèmes avec elle. Dans sa classe, elle faisait des sondages à main levée : qui croit en Dieu ? Combien de fois par semaine changez-vous de chaussettes ?

La cantine de l’école Gatinot de Montgeron était divisée en trois ou quatre petites salles, chacune supervisée par une maîtresse différente. En CE2, madame Lee Van Fu surveillait ma salle et m’a harcelé pendant près de six mois. Pendant les repas, elle nous faisait de grands sermons moraux et me prenait souvent en exemple pour expliquer ce qu’était une méchante personne. Souvent elle m’obligeait à finir le reste des assiettes de toute ma table. Un jour, elle a dit qu’un méchant garçon comme moi devait être puni et a appelé tous les enfants à venir me donner des coups de pieds à la sortie de la cantine. Ce qu’ils ont fait. Je me souviens que cela a duré quelques secondes. Beaucoup faisaient semblant. Quelques bleus à peine. Une petite fille est venue me voir, m’a dit qu’elle ne m’avait pas frappée, elle, que madame Lee Van Fu était méchante.

Quelques semaines plus tard, j’ai empoigné sa main, armée d’une fourchette, alors qu’elle voulait me faire avaler de force des haricots. Mes deux mains à moi ont serré tant qu’elles pouvaient son poignet à elle. Et j’ai dit « non ». Elle m’a dit de la lâcher, qu’elle allait appeler la directrice et que je me ferai renvoyer de l’école. J’ai dit « non ». J’ai hurlé. Elle avait peur.

Ensuite la directrice. J’ai tout raconté. Elle ne m’a pas cru. M’a demandé de m’excuser auprès de madame Lee Van Fu. M’a dit que je ne retournerai en classe que quand je serai calmé et que j’aurai présenté mes excuses. Ma mère est venue me chercher. On m’a changé de salle de cantine.

Comment expliquer que, moi qui disais tout à mes parents, pendant ces six mois je n’en ai pas parlé ? Je pense que ce harcèlement était tellement inconcevable que j’ai fait comme s’il n’existait pas.

Mercredi, une bibliothécaire de Mouffetard recevait une classe à la section jeunesse. Elle leur a lu l’Ogre de Silensonge, avec son accent d’on ne sait où qui mettait les mots en relief. Moi, caché derrière une étagère, je me suis fait tout petit et j’ai profité…

Au royaume de Silensonge, l’ogre a l’air si gentil que les adultes lui confient leurs enfants. Comme il est malin, il ne les mange pas en entier : « L’ogre de Silensonge mangeait les enfants par tout petits bouts, des petits bouts de cœur. Le cœur, c’est tout au fond, à l’intérieur. S’il en manque un morceau, cela ne se voit pas. » Les enfants deviennent tristes, même Lélio, le bavard, qui ne dit plus un mot. Heureusement, il rencontre le roi, se confie à lui et l’ogre est puni.

J’ai repensé à la Lee Van Fu et je me suis dit que, moi qui croyais tant aux livres, peut être que cette simple histoire m’aurait fait comprendre et réagir. Peut-être…

J’ai emprunté le livre et me suis plongé à nouveau dans l’histoire avec délectation. La force du texte de Véronique Massenot est dans sa simplicité. Contrairement aux règles habituelles de récit, elle ne décrit pratiquement rien de concret et ne place pas ses personnages dans des situations précises : on ne sait pas pour quelle raison les parents confient leurs enfants à l’ogre (est-il instituteur ? médecin ?) Aucune scène ne présente Lélio face à l’ogre. La punition de l’ogre n’est suggérée qu’à travers les dessins (il est jugé). Étrangement, ce sont ces imprécisions habiles qui font échapper l’histoire à l’anecdotique et permettent que chaque enfant investisse le texte de ses propres projections.

Ce manque de mises en situation dans le texte est en réalité comblé par les illustrations. Eva Offredo et ses dessins faussement naïfs était la collaboratrice idéale pour ce livre. Elle y exprime tant la dureté que la tendresse en empruntant la symbolique forte des dessins d’enfants.

Ce magnifique album me conforte dans ma position pour une littérature jeunesse positive de la cruauté. Cruauté, parce que les enfants y sont confrontés, plus souvent parfois que les adultes. Positive, parce qu’il s’agit de présenter au lecteur des solutions et non des morales. Ici : si un adulte est méchant avec toi, parles-en !

 

23.11.2006

Rendez-vous à Montreuil

Samedi, je serai sur le stand des Editions du Ricochet (GM 6) de 10h à 12h et de 13h30 à 15h30.

Lundi, sur le stand Gautier-Languereau (G15/H16) de 10h à 12h, puis de nouveau sur celui des Editions du Ricochet de 13h à 15h.

À bientôt ? 

11.11.2006

Rendez-vous à Fougères


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Mercredi prochain, départ pour la Bretagne !

 

07.11.2006

Milos (Y a un os !)

Décidément, cet automne est fécond ! Après Le Village aux Mille Trésors (chez Bayard Presse) et Mon petit baluchon (aux Editions du Ricochet) voici mon tout dernier bébé. Ce nouveau-né se prénomme Milos et son autre maman, Isabelle Charly. La naissance a eu lieu jeudi, à la maternité Gautier-Languereau, assistée de deux (très) sages-femmes : Brigitte et Maryvonne... Voyez comme il a belle allure !
 
 
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31.10.2006

La sucrerie du mardi

Hier, premières dédicaces de Mon petit baluchon... Bien que j'en aie signé le texte seulement, et comme Marianne n'était pas là, je me suis fait plaisir en sortant de leur boite mes crayons préférés !

 

 
 

24.10.2006

Mon petit baluchon

Est-il prêt ? L'avez-vous fait ? Moi, oui ! Et, si le coeur vous en dit, venez le découvrir ici !

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18.10.2006

Destination Natalecta

Juste un petit mot pour vous souffler une idée : aller faire un tour sur Natalecta, Portail Communautaire de Littérature de Jeunesse !

 

09.10.2006

Odyssée postale (5)

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ernier épisode. Avec un grand merci à ces (ex) élèves de 6ème (ils sont maintenant en 5ème) et à leur professeure pour ce travail* qui en a étonné plus d'un ! Aujourd'hui, nous lisons une Lettre pour une disparue...

²

Elle est partie sans bruit, discrète et courageuse comme elle l'a toujours été, Pénélope la Patiente. Elle a perdu connaissance au soir. Mon père lui a tenu la main toute la nuit, puis au matin elle est partie pour toujours. C'était il y a une lune. Mon coeur est lourd mais je me sens maintenant prêt à apprendre mon métier de roi auprès de mon père, Ulysse aux mille ruses. Je voudrais aussi écrire notre histoire, celle d'une famille au destin choisi par les dieux. Mais je suis plus habile à manier les armes que le stylet d'or de ma tendre mère. Aussi vais-je le confier à une femme douce et savante qui saura conter les exploits de mes parents, exploits du retour et de l'attente. Ainsi, dans mille ans, deux mille ans peut-être, les hommes liront notre histoire et tour à tour pleureront et se réjouiront.

Qu'Apollon et Orphée inspirent donc la poésie de Véronika la douce et la savante, Véronika au stylet d'or.

Télémaque

 

*Travail réalisé après lecture, en parallèle, de Lettres à une disparue et de l'Odyssée.

05.10.2006

Odyssée postale (4)

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etrouvons Ulysse, notre cher disparu... désormais revenu. Ceci toujours grâce au travail d'une classe de 6ème, après lecture, en parallèle, de Lettres à une disparue et de l'Odyssée.

Lettre à un disparu

ã

Argos, mon cher vieil Argos,

Pénélope, Télémaque et moi, nous sommes tout à la joie de nous retrouver, tout à la joie de la paix et de la justice restaurées.

Mais nous sommes aussi pleins de chagrin : le seul que tu nous aies causé, celui de ton départ.

Humilié par des servantes indignes et des prétendants perfides, errant pendant vingt ans sur des ordures, tu avais pourtant survécu jusqu'à maintenant. Seuls Eumée et Euryclée t'ont nourri comme ils ont pu et ainsi t'ont sauvé jusqu'à mon retour. Puis tu m'as vu, tu m'as reconnu et tu t'es laissé mourrir. Tu as sans doute considéré que tu avais accompli ton devoir - ton devoir de m'attendre - et qu'à présent tout était bien, tu pouvais te retirer au royaume des ombres.

Je place près de toi, contre ta vieille fourrure que j'ai soigneusement nettoyée, cette tablette où j'ai écrit ce message avec le stylet d'or de Pénélope, témoin de votre chagrin et de votre attente à tous les trois.

Salut, mon vieux compagnon,

 Ulysse

 

(@ suivre...)

02.10.2006

Odyssée postale (3)

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uite du feuilleton, réalisé avec le travail d'une classe de 6ème, après lecture, en parallèle, de Lettres à une disparue et de l'Odyssée. Aujourd'hui, deuxième Lettre à un disparu :


Mon cher père,

Tous les jours, une heure durant nous t'attendons ma mère et moi, sur le seuil de notre demeure. En vain. Pendant ce temps, les prétendants qui veulent ta femme et ton trône, mangent les meilleurs de tes porcs et s'énivrent du meilleur de tes vins.

Je suis jeune encore et je ne peux attendre aucun secours des autres rois grecs. Ménélas ne se soucie guère du royaume d'Ithaque alors que tu l'avais soutenu loyalement.

Je suis jeune et je suis seul. Mais je me battrai jusqu'à la mort pour protéger ma mère et ton royaume.

J'ai un faible espoir pourtant. Hier un étranger, un vieillard surgi de nulle part a prétendu avoir de tes nouvelles. Il m'a dit d'être encore un peu patient, que de grandes choses se préparaient. Bientôt j'en saurai plus.

Reviens, je t'en prie,

Télémaque, ton fils aimant et respectueux

 -

(@ suivre...)

29.09.2006

Odyssée postale (2)

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euilleton, réalisé avec le travail d'une classe de 6ème, après lecture, en parallèle, de Lettres à une disparue et de l'Odyssée. Aujourd'hui, Lettre à un disparu :


Mon très cher Ulysse,

Où es-tu, mon tendre époux ?

Pour tout le monde tu es mort et comme chez nous une femme est peu de choses sans son mari, c'est comme si j'étais morte aussi. Moi-même je ne suis pas loin de le penser. Je suis sans cesse au gynécée comme au royaume des ombres et des morts. Mes servantes sont toujours auprès de moi. Certaines me protègent mais d'autres - au moins une - me trahissent auprès des prétendants qui veulent ta place.

Mon tendre Ulysse, où es-tu ?

Peut-être es-tu plus amoureux de la mer que de ta femme qui t'a toujours aimé. Peut-être m'as-tu oubliée pour recommencer à Troie une nouvelle vie. Avec une autre. Peut-être as-tu d'autres enfants que Télémaque. Mais non, il n'est pas possible que tu ne te souviennes pas de ton fils qui veille à présent sur moi comme j'ai veillé sur lui durant son enfance.

Où es-tu, mon tendre roi d'Ithaque ?

Toi qu'on dit "aux mille ruses", trouves-en une pour que nous soyons enfin réunis ! Mon coeur fait route vers toi, où que tu sois, par ce message que je t'écris avec mon stylet d'or - un présent que tu m'avais fait, t'en souviens-tu ?

Ô Athéna aux yeux d'aigue-marine, déesse de la sagesse et de l'intelligence, viens à notre secours et sauve Ulysse, mon bien-aimé, mon disparu,

Pénélope

 

(@ suivre...)

27.09.2006

Odyssée postale (1)

medium_sc_l01.gif'année dernière, j'eus la chance d'être invitée par une professeure de français formidable - et par ailleurs auteure - dans une classe de 6ème, à Paris. Ses élèves avaient lu mes Lettres à une disparue et je venais répondre à leurs questions sur le roman, l'histoire vraie qui me l'avait inspiré, le travail d'écriture...

Bien sûr, je leur parlai de mon amour pour la correspondance. La rencontre fut chaleureuse et lorsque je partis, la classe me promit un petit courrier. "Peut-être en rapport avec l'Odyssée..." - qu'elle étudiait alors.

Plusieurs mois s'écoulèrent. J'oubliai la promesse, rencontrai d'autres classes et d'autres élèves attachants. Puis un beau jour de juin, les lettres arrivèrent chez moi. Comme elles me plurent beaucoup, j'eus envie de les partager. Aussi, autorisation prise auprès de leurs auteurs, je vous en propose la lecture... sous forme de feuilleton ! Voici le premier épisode ; il y en aura cinq en tout.

 

Chère Véronique,-

Comme Pénélope, il faut être patiente car tu vois : tout arrive. Non, ton passage à Rocroy n'est pas tombé dans l'oubli, une semaine recouvrant l'autre de préoccupations nouvelles. Il fut même un temps très fort de notre année et nous tenons à t'en remercier par un petit travail d'écriture que nous te dédions. Comme nous avons étudié l'Odyssée, il nous a paru intéressant d'imaginer la lettre que Pénélope pouvait écrire à Ulysse, grand spécialiste de la disparition prolongée. Seulement de fil en aiguille et de disparu en disparu, notre travail a pris plus d'ampleur et donc plus de temps, que ce qui était prévu à l'origine.

Nous espérons que ces quatre lettres, synthèse de tous les travaux d'élèves de 6ème 4, te plairont et t'amuseront (te tireront une petite larme, peut-être...).

Encore une fois merci pour le temps que tu nous as consacré.

Nous t'embrassons fort.

La classe de 6ème 4 et leur professeur, Hélène Delprat.

 

(@ suivre... dans Le courrier des lecteurs)

25.09.2006

Ohayogozamasu !

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Deuxième escale, un petit village au pied d'un volcan... avec une (très !) Belle Histoire écrite par mes soins et brillamment illustrée par Marcelino Truong.

" Deux vilains bandits ont entendu parler d'un village où seraient cachés mille trésors. Il n'en faut pas plus pour les décider à s'y rendre et à réclamer leurs richesses aux villageois, terrorisés, qui n'y comprennent rien... Et si ces deux nigauds se trompaient de trésors ? "

Pour en savoir plus, vite, au kiosque !

 

05.06.2006

Livres postés (1)

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Si par hasard vous vous interrogiez sur mon "silence" et l'absence de nouvelles notes publiées ici... en voici l'une des raisons.

Nous sommes plus de 130 auteurs et illustrateurs "Jeunesse" à nous être mobilisés. Groupés en collectif, nous avons envoyés des livres. Des livres pour construire un abri symbolique. Des livres pour dire NON ! à l'expulsion programmée, le 30 juin prochain, de dizaines d'enfants... nés et scolarisés en France depuis toujours mais dont les parents, étrangers, n'ont pas eu la chance de voir leurs permis de séjour renouvelés.

Notre collectif "protège" ainsi deux familles : les Sylla et les Chen. Pour connaître les détails de leurs situations, rendez-vous sur http://aissata.hautetfort.com/. S'il vous plaît, lisez. Ensuite, vous pourrez décider, en connaissance de cause, s'il faut signer - ou non - les deux pétitions.

Merci de votre attention.

 

15.05.2006

Rendez-vous à Agen

medium_rubon133.jpegLe jour J approche... Mercredi, départ sur les chapeaux de roues. Samedi, retour sur les rotules.

 

Entre temps ? Du bonheur !

 

C'est-à-dire... Des échanges avec les enfants, petits et grands, dans les collèges et les écoles. Des dédicaces. Des expositions. Des spectacles. La rencontre d'autres auteurs et d'illustres illustrateurs...

 

Nathalie Novi quitte-t-elle parfois son chapeau ? Rascal, ses bottes ? Georges Lemoine, son flegme ? Patience... vous le saurez (peut-être) bientôt !

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Demandez le programme !